''THE RELIGION OF WOMEN'' (OR NORTH-AMERICAN ADAM)


Il y a quelques semaines, sur une page Facebook aujourd'hui disparue dans les brumes de l'Internet, j'ai écris un poème intitulé ''The Religion Of Women''. Très prude et collé sur l'actualité récente, il a suscité beaucoup d'intérêt, mais la frilosité de Facebook a fait en sorte qu'il n'est plus affiché. Je n'en ai aucune copie écrite et j'aimerais bien pouvoir le republier dans les 'pages' de ce blog.

Je lance donc un appel aux lecteurs et lectrices de ce blog, dont plusieurs, je pense, fréquentaient l'une ou l'autre des mes pages Facebook tombées au combat. Quelqu'un a-t-il conservé, ou connaît-il quelqu'un qui a conservé, une copie du texte de ce poème, que ce soit sur une page de média social où il est possible de faire un copier/coller, en format fichier électronique ou en version imprimée? Si oui, est-il possible de me faire parvenir ladite copie?

Je me souviens que j'ai publié ce poème un dimanche matin pluvieux, vers 11 h. Cela a provoqué un genre d'électro-choc sur la toile. En l'espace de quelques heures, je recevais des dizaines, des centaines de messages Messenger, de demandes d'amitié, de demandes d'entrevues audio ou vidéo, de réactions en tout genre. En une journée et demi, le nombre d'amis de ma page FB a doublé, passant de 2 500 à 5 000 personnes, sans compter de 700 à 800 autres personnes qui ne pouvaient être amis parce que j'étais plafonné à cinq mille personnes.

Ce tsunami miniature comportait plusieurs vagues différentes. On se souviendra qu'il y avait eu un escadron de la mort, composé de militaires américains homosexuels, un bataillon de femmes américaines, presque pas habillées et très directes, un bataillon de femmes européennes francophones, plus habillées et plus subtiles, et un bataillon de femmes des Philippines, très religieuses, bien habillées et complètement charmées par le poème, sans parler de plusieurs Africaines d'expression française. Le poème avait même réussi à rejoindre et faire vibrer un ingénieur anglophone travaillant dans une ville chinoise, Ningbo, au sud de Shanghai.


Commentaires

  1. Excellente idėes, Charles! J'espère que tu retrouvera le fruit de ton labeur.

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