(Traduction personnelle d'un texte publié le 10 mars 2021 - Personal translation of an article published on March 10, 2021) The country that we know today, in March 2021, has changed a lot in the last months. In Québec, the Coalition avenir Québec (CAQ), a center-right formation close to the business world, is starting to have some hic-hups along the way, after a long honeymoon with the electorate. The matter of the anglicization of Montréal is creating difficulties because it illustrate the main weak point of this autonomist group, which is to say its lack of traction on the ground of Québec nationalism, a rich soil created by a quartier of a millenia of accumulated frustration among the french-canadian population. The two independantists parties that are the Parti québécoi s and Québec solidaire feeds themselves on this ground, and the CAQ is trying to do the same by promoting an automatism that remains ill-define to this day. As for the fourth political party to occupy the po...
(Texte publié initialement sur X -Twitter-, le 10 juillet 2024) Le principal problème, avec le gouvernement canadien, c'est qu'il retourne davantage aux électeurs, sous forme de dépenses, que le montant qu'il prélève des contribuables, sous forme de revenus. Il en découle une série incessante de déficits annuels, lesquels alourdissent toujours davantage la dette nationale, poussant ainsi le pays à la feuille d'érable vers l'effondrement budgétaire et la ruine, petit à petit. Ce constat assez accablant est aussi applicable à bon nombre de pays occidentaux, d'ailleurs, soulignant ce qui semble être leur plus grande faiblesse, née des difficultés qui, tôt ou tard, inévitablement, se posent devant la nécessité d'agir d'une façon aussi rationnelle et conséquente que possible, en bonne partie à cause du caractère profondément imparfait de la nature humaine. Le débalancement dont il est question ici, au plan de la gestion budgétaire, provient essentiellement...
(Article basé sur un exte publié sur le réseau X / Twitter aujourd'hui, le lundi 15 juillet 2024) Nous vivons dans un monde d'excès et de gaspillage, maladivement obsédé par le fla-fla, le prestige et l'apparence. La situation actuelle est tout simplement insensée. Au lieu de chercher à réinventer la roue à tous les quatre ans, à grands frais, dans le but de présenter les Jeux olympiques d'été dans une ville différente, il serait plus intelligent, plus ecobomique et plus pérenne de choisir un site permanent et de s'en servir d'une façon exclusive, à raison d'une édition à tous les quatre ans, comme actuellement. Il suffirait alors de rénover et de rafraîchir les équipements nécessaires, selon les besoins, au lieu de tout construire à neuf, avec des amenagements spécialisés qui, dans certains cas, sont laissés à l'abandon après une intense utilisation durant quelques semaines, le temps que les Jeux se tiennent et que l'on passe ensuite à d'aut...
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