L'OCCIDENT ET LES NON BINAIRES

 



(Voici une série de pûblications sur X / Twitter au cours des dernières semaines.)


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(17 août 2024)

Family is paramount. Individualism is a social cancer that is eating the West from the inside out.

In human life, the individual is nothing and family is everything.

https://johnmenadue.com/birth-rate-down-attacks-on-marriage-and-family-are-counterproductive/


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(28 août 2024)

En Suède, tout récemment, selon le texte ci-dessous, une ligne complète de vêtements folkloriques unisexe a été créée en s'inspirant des vêtements réels d'autrefois, lesquels étaient différents selon le sexe. Cela semble avoir été fait pour accommoder les personnes non binaires et éviter de les traumatiser en les confrontant avec des réalités biologiquement offensantes.

Un jour, dans un demi-siècle, voire même avant, nos descendants ne pourront s'empêcher de se tordre de rire en pensant aux sottises délirantes qui circulent présentement, ces dernières années, surtout en Occident, concernant les non binaires, ces personnes dégenrées, débinarisées et décentrées qui semblent être inconfortables devant les réalités biologiques qui sous-tendent l'espèce humaine, notamment au niveau de la reproduction.
Porté surtout (mais pas uniquement) par les franges les plus extrêmes du néo-féminisme intégriste et radical, la non binarité est le fruit vénéneux d'une époque obsédée par la haute technologie et l'individualisme à tout crin. C'est un phénomène typiquement occidental, fruit d'une collision frontale entre la révolution sexuelle et la technologie moderne.

Les non binaires, essentiellement, se refusent à s'identifier comme hommes ou femmes, afin de mieux protester contre le patriarcat et promouvoir la lutte révolutionnaire contre l'asservissement des femmes au cours des siècles.

Le/la non binaire se perçoit comme un individu complet en soi-même et n'ayant besoin de personne d'autre que soi-même. Ni homme, ni femme, il/elle/eux/iel rejette la réalité biologique et nie l'existence de différences sexuelles.

Les non binaires considèrent que ces différences ne sont guère plus qu'une construction sociale et que la principale fonction des organes génitaux est de procurer du plaisir aux individus. Que ces différences soient à la base de la procréation et qu'elles aient permis à l'espèce humaine de survivre pendant des millions d'années les laissent complètement indifférents.
De fait, ils se concentrent entièrement sur leur précieuse personne, ne rêvent pas de fonder une famille et ne souhaitent pas d'enfants. Ce qui leur importe, d'abord et avant tout, c'est leur vie professionnelle, ainsi que les biens matériels, financiers et technologiques que celle-ci leur procure.
La technologie, en particulier, est un élément capital de leur existence. Ayant grandi dans des sociétés qui valorisent la technologie, les non binaires sont très friands des bidules technos.

Pour le dire caricaturalement, s'ils étaient mis devant l'obligation de choisir entre avoir un enfant ou avoir la toute dernière version du téléphone intelligent à la mode, les non binaires choisiraient probablement le bidule. Dans leur esprit, pourquoi perdre du temps avec des couches souillées, des bébés qui pleurent au milieu de la nuit, des enfants qui s'amusent à faire des mauvais coups tout le temps et des adolescents ingrats et rebelles quand il est possible d'avoir du plaisir avec une belle machine techno?

Que pareilles pitreries se répandent actuellement dans les sociétés occidentales n'est pas surprenant en soi, étant donné l'aisance matérielle et la dégénérescence sociale qui y existent. Néanmoins, cela souligne amplement la faillite du modèle occidental.

Il faut admettre l'évidence et reconnaître que l'avenir de l'humanité n'est pas en Occident, devenu une impasse, mais ailleurs. Cet avenir se trouve en Chine, en Inde, en Afrique...

https://en.wikipedia.org/wiki/B%C3%A4ckadr%C3%A4kten


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(30 août 2024)

Aucune transition de genre ne devrait être autorisée par le législateur pour des mineurs. Les décisions de ce type sont trop importantes pour être laissées à des enfants de 14 ans.

Une fois majeure, la personne concernée sera plus à même de prendre les décisions qu'elle souhaite sur cette question. Elle en assumera aussi les coûts qui y sont liées, ainsi que les conséquences pouvant en découler.

https://www.journaldemontreal.com/2024/08/29/comment-parler-des-trans-sans-se-faire-menacer


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PLUS:  @charles.millar3 (X-Twitter)



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