SUBTILITÉ CHINOISE EN EURASIE, BRUTALITÉ TRUMPIENNE AUX CARAÏBES

 



LES NOUVELLES - 2025

SEPTEMBRE

(22)

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(Affichages faits sur Linked In, en date du dimanche 7 septembre 2025)


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Voici un article très intéressant sur l'endettement de la France.Tout cela est fort bien. Reste qu'un État comme la France (ou n'importe quel autre, au fond) doit, d'abord et avant tout, reprendre le contrôle de son propre budget, ce qui implique de mettre un terme une fois pour toutes aux déficits annuels à répétition. Une fois cela fait, il suffirait alors d'attendre que les obligations soient intégralement remboursées. Toutefois, une telle discipline budgétaire est-elle encore possible de nos jours, à notre époque où les élections se gagnent à coup de promesses excessives et irresponsables?

https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/08/31/un-etat-ne-rembourse-jamais-sa-dette-il-ne-paie-que-la-charge-de-la-dette_6637648_3232.html

At a time when the Sinosphere and the Anglosphere are grappling with each other, trying to determine who will end up on top, onr very important question is this one: How will the European Union position itself in the future? It is to be hoped that, after the conclusion of the current Ukrainian War, the EU will choose to cooperate economically with Beijing, while ditching US-controlled NATO and offering an alternative to China on the political plane. Vive l'Union européenne  L'Europe aux Européens !

https://www.theguardian.com/world/2025/sep/01/china-victory-day-military-parade-putin-kim-jong-axis-of-upheaval

Étant donné la volonte trumpienne de réduire le budget général de la NASA, d'annuler le futur vaisseau spatial Orion et de mettre un terme au projet de station spatiale lunaire Gateway, les responsables du programme spatial européen (ESA) doivent regarder la réalité droit dans les yeux et commencer à préparer l'étape suivante. Afin de réduire les coûts énormes liés à ce ce genre d'activités, l'ESA a intérêt à trouver d'autres instances aptes à (et désireuses de) coopérer avec elle. Il est assez évident, par les temps qui courent, qu'une collaboration avec la Chine et, plus encore, avec la Russie est politiquement hors de question pour les pays constituant l'ESA. L'alternative logique est donc l'ISRO, l'agence spatiale indienne. Celle pourrait bénéficier grandement de l'expertise (et des budgets) de l'agence spatiale européenne. Si jamais l'agence japonaise faisait un jour le même raisonnement, ce serait encore mieux. Toutefois, en attendant, il va de soi qu'un effort coordonné entre les Indiens et les Européens serait hautement bénéfique pour les deux parties concernées. Les Sud-Coréens et les Émiratis pourraient eux aussi s'y joindre, éventuellement, comme bien d'autres.

https://www.lemonde.fr/sciences/article/2025/09/01/les-incertitudes-liees-a-la-politique-spatiale-americaine-relancent-le-debat-sur-l-autonomie-europeenne_6638048_1650684.html

The whole thing is probably a way to intimidate the Venezuelian government. The US naval forces already involved and those said to be coming are too small to mean anything than a show of force. The United States are still officially at war with Iran, and they remain at odd with Russia over Ukraine, while keeping an eye on Taiwan. To go to war against Venezuela at this point in time would not make any sense.

https://www.aljazeera.com/news/2025/9/1/maduro-says-us-naval-forces-aimed-at-regime-change-in-venezuela

La rivalité politique entre les pays européens et la Chine n'empêche en rien l'avènement d'une coopération au plan économique entre eux. Les Européens doivent identifier les domaines où ils sont compétitifs ou peuvent le devenir. Ici, par ailleurs, l'approfondissement des relations de développement économique entre l'Europe, d'une part, et les pays d'Afrique et du sous-continent indien fait sens. Un des grands facteurs du décollage économique chinois a été le faible coût initial de la main-d'oeuvre, combiné à l'importance du marché de consommation locale et de l'abondance des ressources naturelles. Les mêmes facteurs se retrouvent aujourd'hui en Afrique et en Asie méridionale. Si l'Union européenne choisit d'y investir, comme elle l'a fait en Chine il y a une trentaine ans, elle y trouvera son compte, tout en soutenant le décollage économique des ces deux grands secteurs en plein boum démographique.

https://www.scmp.com/economy/china-economy/article/3324019/facing-chinas-solar-power-industry-eu-advised-concede-defeat?share=CD178CQBy0Q1hZwuh3cIW%2Ftcb7GKiW6YeIQu9tBl7jhVQwzmVQ7%2BF5vXRaQkGTBokonTh0Eap%2F2gXcabWb8l6pYJCfILlR%2BTxKubrfeqUVgG69P5ElQg%2BPkYXhs%2BKG8FjgE3O8jhHSJLag9u8mcT2A%3D%3D&utm_campaign=social_share

Cer article est très intéressant, tout comme les documents liés concernant le dispositif militaire indonésien. Il en ressort que les nouveaux missiles balistiques sol/sol dont dispose maintenant l'Indonésie et qui sont déployés sur l'île de Bornéo font partie des moyens mis en oeuvre pour protéger la future capitale indonésienne, en construction sur la partie orientale de cette immense île. Ce qui encore plus intéressant, surtout dans le contexte actuel, alors que l'Indonésie vient d'être admise comme membre à part entière des pays formant l'association économique des BRICS, c'est la partie concernant les relations entre l'Indonésie, le plus populeux des pays de l'Asie du Sud-Est, et les deux puissances dont la rivalité s'approfondit de plus en plus au plan politique, la Chine et les États-Unis. Le nouveau gouvernement indonésien se perçoit clairement comme plus proche de la Chine que de l'Amérique. C'est sans doute ce qui explique son souhait de voir la Papouasie Nouvelle-Guinée devenir un membre de l'association économique des pays du Sud-Est asiatique (ASEAN). Cette admission contribuerait probablement, du moins aux yeux de Jakarta, à rapprocher politiquement ce pays de la Chine et de créer une barrière géographique s'interposant entre l'Australie pro-américaine et les bases militaires américaines du Pacifique. Une autre mesure allant visiblement dans le même sens, c'est le projet de développer et fortifier quatre bases militaires indonésiennes se trouvant en Papouasie occidentale, une vaste région découpée en cinq provinces au plan administratif et occupant toute la moitié ouest de l'île de la Nouvelle-Guinée. Dans la situation géopolitique actuelle, ce n'est évidemment pas un hasard si deux de ces bases sont situées du côté sud de la Papouasie occidentale, c'est-à-dire face à l'Australie (dont toute la partie nord fait l'objet d'un vaste programme de renforcement des bases australiennes et américaines qui s'y trouvent), alors que les deux autres, elles, sont localisées du côté nord de la Papouasie occidentales, c'est-à-dire face à Guam (importante île-forteresse américaine qui abrite un complexe militaire majeur, situé plus ou moins à mi-chemin entre la province dissidente de Taiwan et l'État américain d'Hawaii). Les textes accessibles ne précisent cependant pas si l'une de ces deux bases du nord de la Papouasie occidentale correspond à la base aérienne de Biak, située sur l'île du même nom, au large de la Nouvelle-Guinée, là où la Fédération russe souhaite implanter des aéronefs militaires un jour.

https://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/indonesia-s-khan-missiles-aren-t-targeting-china

Dans la foulée du Sommet de l'Organisation de cooperation de Shanghai, cette nouvelle est informative sur l'état des relations trilatérales entre la Russie, la Chine et la Mongolie. Le changement de statut de ce dernier pays laisse présager une intégration plus poussée un jour, jusqu'au stade de membre à part entière. On devine cependant entre les lignes que Beijing préférerait que le gouvernement mongol cesse graduellement de privilégier sa politique de développement tout azimuts et se concentre plutôt sur ses voisins immédiats. Cela étant, les liens économiques entre les trois pays se multiplient, entre autres en ce qui touchent la réalisation du projet Pouvoir de Sibérie 2, lequel permettra à Moscou de renflouer ses coffres, dans le contexte d'une guerre ukrainienne qui s'éternise, tout en permettant a Beijing d'acquérir encore plus de gaz naturel russe à bas prix. Cela accentuera évidemment la dépendance chinoise par rapport à la Russie, dans le domaine de l'approvisionnement énergétique, mais Beijing calcule sans doute que les projets ferroviaires en cours lui donneront la possibilité de diversifier ses sources d'énergie. Ainsi, la ligne ferroviaire en construction entre le Sinkiang et l'Ouzbékistan, à travers le Khirgizstan, facilitera l'accès au gaz naturel d'Asie centrale. De même, le nouveau lien ferroviaire qui sera aménagé prochainement entre les deux ports secs qui se font face à l'ouest du corridor ferroviaire central (c'est-à-dire la ligne transmongole qui relie la ville russe d'Ulan Oude, au nord, et la capitale chinoise, Beijing, au sud), de part et d'autre de la frontière sino-mongole, permettra de faciliter l'envoi du charbon du bassin houiller mongol de Tavan Tolgoy vers les centrales chinoises, de façon plus directe et plus économique, malgré la différence d'écartement des rails qui oblige actuellement les opérateurs à recourir à un détour, via une autre voie menant au corridor central. Le gouvernement mongol prévoit d'ailleurs, incidemment, de multiplier les nouvelles voies ferrées sur son territoire, afin de maximiser les bénéfices de l'industrie extractive et de pousser plus loin l'intégration avec les économies de ses deux puissants voisins. L'évolution économique de la Mongolie semble donc prendre le chemin d'une plus grande intégration régionale, ce que viendrait accentuer davantage une éventuelle et encore adhésion aux BRICS. Quant à l'évolution politique de la Mongolie, un ancien protectorat de la dynastie manchoue qui régnait à Beijing, puis un satellite de l'Union soviétique, de la révolution bolchévique à la chute du communisme russe, trois générations plus tard, reste difficile à discerner.

https://www.scmp.com/news/china/diplomacy/article/3324079/xi-urges-russia-mongolia-block-external-interference-forge-deeper-economic-ties?share=sDPIwJKLy%2FxMEs7tSGPoEXrCjL6DZLFSoywZH59JZqKnQnNKZEdE4f975QlPAvXPS58qLEjAuPOOeVypUzWxHyOaUy%2F1VH%2BNbWJNnCkNoxF%2Fy6PwwKYZHlmFfX1iTzcI7POonmN8XtczQdtNozzqFA%3D%3D&utm_campaign=social_share

Le plus décevant, dans cette situation, c'est encore l'Europe. L'Inde et la Chine ont compris l'importance de décarboner l'atmosphere et prennent les moyens pour y arriver. Les États-Unis, sous l'administration Biden, avaient compris les enjeux, eux aussi, et ils avaient pris en conséquence les moyens appropriés pour remédier au problème. Ce n'est plus le cas avec Trump et les États-Unis ont pris une tangente qui n'a pris personne par surprise et qui va durer aussi longtemps que perdurera le culte de la personnalité qui se met actuellement en place auprès du Supreme Leader, une auréole sainte qui va probablement se transmettre à son vice-président, J.D. Vance, si c'est lui qui le remplace un jour. L'Europe, par contre, déçoit beaucoup. Elle a compris l'urgence de reagir aux changements climatiques, mais trop de dirigeants européens prefetent suivre la voie de lavfsculute et de copier les Américains en tout, même lorsque ceux-ci se mettent le doigt dans l"oeil, ce qui est certainement le cas maintenant. Ce qui est en cause, ici, c'est la propension des mauvaises habitudes de se poursuivre au delà de leur date de péremption, comme si de rien n'était, comme si le monde n'avait pas changé ces quarante dernieres années, comme si nous étions encore à l'époque de la guerre froide. C'est aussi l'électoralisme qui se trouve à la racine des déficits annuels qui frappent les démocraties occidentales depuis l'époque du président Reagan et qui risquent d'être leur perte, ouvrant la voie aux populistes et aux démagogues de toit poil, à la Donald Trump, avec leurs baguettes magiques, leurs solutions faciles, leur poudre aux yeux. Nous entrons dans l'ère des fabulateurs et des marchands d'illusions... Beaucoup d'Européens n'ont pas encore compris qu'il est possible de refuser de se vassaliser à la Chine et de coopérer quand même avec elle, en meme temps, au plan du développement économique et de la transition énergétique, lorsque ça correspond au meilleur intérêt de l'Europe (et du reste du monde, de surcroît). Tout cela est bien triste.

https://www.lemonde.fr/planete/article/2025/09/01/les-emissions-de-gaz-a-effet-de-serre-continuent-leur-progression-malgre-les-bons-chiffres-chinois_6637986_3244.html

So that was Trump had in mind with that military deployment; not just making a show of force, but bringing on the scene the means necessary for active operations against alleged narco-cartel members. One part of his message on Truth Social is problematic, the part that says that the cartel was "...operating under the control of Nicolas Maduro...", the president of Venezuela. This affirmation, made with no apparent proof, is indicative of the amateurish character of the whole operation (and of the whole administration concerning foreign matters). If the Venezuelan government is really behind the narco traffic, in an official manner, the US has to show the proof of it, not just pretend that it is true because it wish that it is. That affirmation is clearly for internal consumption, a repeat of the Cuba Missiles technique used by Kennedy to gain credency in front of the UN, while leaving in the dark the part about the US missiles already in Turkey at that time. Trump knows full well that a good part of the American public is ready to believe almost anything that came out of his mouth, no matter what he says, especially if the subject of his libel is Venezuela. Mexico is another country with a cartel problem, but since it is a more respectable one, the Trumpians visibly thinks that there is no limit to the amount of badmouthing that can be done against Venezuela. That being said, will there be an escalation of activities to prepare the public about something more important, like the capture of some small offshore undefended island, under some pretext, in order to pressure Caracas about accepting deporting migrants, for instance? Time will tell.

https://www.cnn.com/2025/09/02/politics/us-military-strike-caribbean?cid=android_app

An interesting article in The Diplomat. China is very present in the Indian Ocean, while India is wholly absent in the Pacific, despite deep historical and cultural ties in Indonesia (Bali), Indochina (Annam), Thailand, Malaysia and Singapore, through the presence of Tamil populations, but also of Buddhism and Hinduism, manifestations of ancient (but still strong) Indian cultural influence.

https://thediplomat.com/2025/09/india-china-competition-in-the-western-indian-ocean/

Le déménagement du siège de la US Space Command, le centre de commandement des forces armées américaines dans le domaine spatial, créé par le président Trump lors de son premier mandat, du Colorado (État bleu) à l'Alabama (État rouge, donc trumpien), pourrait n'être que le premier d'une série de déménagements semblables, touchant toujours des agences relevant des autorités fédérales, dans le but de renforcer l'Amérique trumpienne, constituée des États rouges, au détriment de l'Amérique non trumpienne, constituée des États bleus. S'il y avait une vague de fermeture de bases américaines, par exemple, dans le cadre d'un programme visant à réaliser des économies budgétaires, cela pourrait être un critère de sélection non officiel mais néanmoins réel. Cela dit, les instances fédérales se déploient de bien des façons hors de Washington, dans toutes sortes d'installations et pour toutes sortes d'agences (FBI, CIA, NOAA, NSA, NASA, FEMA, etc.)

https://www.lemonde.fr/international/article/2025/09/03/donald-trump-balaie-les-rumeurs-sur-sa-sante-apres-une-semaine-d-absence_6638511_3210.html

Cette nouvelle est importante à bien des niveaux. Tout d'abord, elle suggère que nous sommes possiblement sur la voie d'une solution au problème très moderne des allergies, dont le nombre et l'ampleur augmente sans cesse dans notre monde trop urbain, trop aseptisé, trop propre et trop éloigné des milieux naturels. Notre admiration des prouesses de la science occidentale moderne nous déshumanise sans même que nous nous en rendions compte, nous éloignant de la nature dont nous sommes issus et diminuant aussi, du même coup, nos chances d'avoir une vie longue, heureuse et productive. Nous en sommes rendus au point où notre conception de la modernité fait penser à un laboratoire blanc, froid et reluisant, avec des meubles astiqués cent fois par jour et une absence totale de vie animale et végétale. Nous avons pourtant besoin de vivre comme nos ancêtres le faisaient, baignant constamment dans un bouillon de culture, avec des créatures de toutes taillles et de toutes formes, les plus importantes de ces créatures étant celles que nous ne voyons pas mais qui nous environnent quand même, par centaines de milliards, tout autour de nous et à l'intérieur même de nos personnes physiques. Il n'est pas normal de vivre dans des villes tentaculaires, anonymes, comptant des dizaines de millions d'humains. C'est un phénomène relativement récent dans l'histoire de l'humanité. Cela favorise les maladies et les dysfonctionnements physiques, mais aussi les maux sociaux associés à l'enrichissement des sociétés occidentales contemporaines. Il est donc souhaitable que, dans la mesure du possible, la tendance menant à une plus grande industrialisation soit combattue consciemment, par les pouvoirs publics, en faveur d'une revitalisation graduelle des campagnes et des centres urbains de plus petite tailles, plus propices à une bonne santé mentale, à une bonne santé physique et à un mode de vie plus adapté à notre réalité biologique. Les moyens modernes de communication et de déplacement favorisent d'ailleurs un tel mouvement de désurbanisation, vu la grande facilité, aujourd'hui, de visiter de grands centres urbains et de communiquer quasi-instantanément avec des lieux éloignés. De nos jours, la banlieue de Paris est la Terre Adélie, les faubourgs de New-York incluent la station polaire américaine qui se trouve au pôle sud, les abords de Shanghai s'étendent jusqu'à la nouvelle station orbitale chinoise. C'est comme ça...

https://freethinkmedia.substack.com/p/we-purged-worms-from-our-bodies-and?utm_source=post-email-title&publication_id=2669059&post_id=172585469&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=5fxz47&triedRedirect=true&utm_medium=email

Beijing is visibly trying to woo Malaysia away from the US, accepting tthe idea of creating another major refining center, in that country, the main one being in China, for the sake of pulling Kuala Lumpur a little further inside its economic orbit, as opposed to the American orbit. Such a refining center may be used by Malaysia for its own needs, of course, but it may also be useful for the refining of Myanmar's considerable reserves of rare earths, in the wake of the recent changes in the course of the civil war in that country, with the Burmese military governement having start to roll back the US-engineered insurrection by ethnic minorities and by a part of the majority Bamar population. The civil war, opposing those groups to the central government, backed by the other part of the Bamar population, and also by China, has been going on in the last few years. When the civil war will cease, the country will need reconstruction and the revenues from the increased production of those ressources will help Myanmar in the process of putting its house in order again. The eventual Chinese-backed refining center in Malaysia may possibly be intended also to serve the needs of other nations, like Australia, that own important reserves of rare earths.

https://www.tomshardware.com/tech-industry/after-locking-out-the-u-s-china-offers-rare-earth-development-assistance-to-malaysia-insists-on-partnering-with-state-owned-companies-only

Depuis 1948, les pays occidentaux ont été complices de l'entêtement raciste des Israéliens et complaisants envers la souffrance des Palestiniens, chassés de leurs terres et privés de droits politiques, encore aujourd'hui, alors que le massacre des Gazaouïs se compte probablement en centaines de milliers, plutôt qu'en dizaine de milliers. Le vrai problème n'est pas le terrorisme, mais l'obstination israélienne de pousser les Palestiniens hors de Palestine et, à défaut, de les éliminer physiquement à chaque fois que c'est possible. Les pays qui sont les plus à blâmer pour le génocide en cours, en plus d'Israël comme tel, ce sont les États-Unis, le Royaume-Uni et la France, les trois pays occidentaux ayant le droit de véto au conseil de sécurité. Honte sur eux! Honte sur l'Occident! Honte sur tous ceux et toutes celles qui ont cru en la bonne foi d'Israël...

https://johnmenadue.com/post/2025/09/the-real-death-toll-in-gaza/

Neo-Nazis and open racism is on the rise in Australia. Is the Trumpian Darkness reaching as far away as Down Under ? Meanwhile, the Trumpians are eliminating Venezuelians with missiles without due process, no court of law, no nothing, just specious affirmations, make believe, using military might instead of the rule of law that is supposedly so important in the Western World. What about legal process, the right to defend oneself in court, the protection of justice, the principle that you are supposed to be innocent till proven guilty? Gone with the wind. Expediency has replaced civilization: even druggies have rights. If you act like a barbarian, maybe it's because you're one too...

https://johnmenadue.com/post/2025/09/neo-nazis-and-racist-rallies-why-its-important-the-australian-media-call-them-for-what-they-are/

"...the cartel running Venezuela..."??? This sound more and more like provocative moves by the Trump administration, planned and designed in advance to justify a military intervention against another sovereign country. The US military forces there are much too small for an outright invasion, like Panama or Grenada. Then, it may simply be a matter of bombing military naval units, destroying planes in the air or on the ground, then calling the war over, in the hope that the "cartel running a country" stop "invading" the US with drugs. It may also be a repeat of the Falklands War, but in reverse, with Washington trying to distract the attention of its own population with a foreign intervention, in the hope of uniting the American people around the flag, like Buenos Aires did at the time. The Iran military intervention may have led Trump to believe that he can start and stop any conflict at will, given the military strenght of his country. It would be a kind of deluded, short-term thinking that would suit the Trumpians just fine....

https://www.newsweek.com/warning-issued-after-dod-says-maduro-regime-planes-flew-near-us-navy-2124891?utm_source=STMailing&utm_medium=email&utm_campaign=Geoscape&emh=203e2b52bb7cdda2cf72b78cbe625321bed7b7f7ac3b146f04dc71f02dc50bce&lctg=67f8fd055605f7af030a90ba&utm_term=%5BAudience%5D%20-%20Geoscape

Score one for Team Trump.

https://asia.nikkei.com/politics/turbulent-thailand/anutin-charnvirakul-elected-as-thailand-s-new-prime-minister?utm_campaign=GL_asia_daily&utm_source=NA_newsletter&utm_medium=email&utm_content=article_link&del_type=1&pub_date=202509051900000900&seq_num=7&si=801160

This text is deeply disturbing and troubling...

https://consortiumnews.com/2025/09/05/west-asia-is-lurching-toward-war/

That would be a very good idea, especially in the light of recent Trumpian moves to deny some Palestinians representatives access to the US, thus preventing them from attending important UN events. The General Assembly and the Security Council should move out of the US, along with their support services...

https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:7369395185581031427/

In the battle between knowledge and ignorance, ignorance is having the upper hand these days, in the United States. Loyalty is now more important than competence. It's the Fuehrer Principle all over again : the Boss is right, not matter what.

https://johnmenadue.com/post/2025/09/health-workers-in-the-us-are-demanding-the-resignation-of-robert-kennedy-his-ignorance-and-arroganc/?utm_source=Pearls+%26+Irritations&utm_campaign=7d6123fa25-Daily&utm_medium=email&utm_term=0_0c6b037ecb-7d6123fa25-668562871

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