NOUS SOMMES NOS PIRES ENNEMIS
(Source: Isabelle Jourdain) Nous sommes nos pires ennemis. Le taux de natalité des francophones du Québec et de l'Acadie est très faible et nous n'avons pas assez d'immigrants francophones pour enrayer le déclin prévisible de notre population, d'ici quelques années, quelques décennies au mieux. Non seulement notre jeunesse est peu nombreuse, mais elle est maladivement obsédée par les bébelles technos, se préoccupe un peu trop de son enrichissement matériel et a bien de la difficulté à résister à l'attrait des privilèges et du luxe. Il y a bien des façons de commencer à corriger les choses: 1. Réglementer l'utilisation des médias sociaux par les jeunes, d'une façon graduelle, à la maison, au primaire, puis au secondaire 2. Reculer l'âge où débute l'apprentissage de l'anglais, langue seconde, à l'école. Ce ne sont pas les occasions ni les moyens d'apprendre l'anglais qui manquent sur un continent où nous ne formons guère plus que 3 ou 4...